Des affiches avec les statistiques officielles suisses ont été appliquées sur la vitrine de la boutique. Une de ces affiche disait : ” Ici, nous n’obligeons personne à porter de masque”. Suite à la dénonciation d’une personne à Genève, la médecin cantonale a fait fermer la boutique, sans faire constater par la police que les mesures n’étaient pas appliquées dans l’établissement. Cette fermeture a été contestée par l’entreprise car elle ne se base pas sur des faits mais sur une affiche, la liberté d’expression étant un droit fondamental. Malgré cela, le Tribunal de Genève a donné tort à l’entreprise.